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Parmi les disques de ma collection :1981... 1987 :
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(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques. Pour accéder aux photos ci-dessous en très haute définition, |
Les années 80, pour moi il quelques temps c’était encore de la musique « récente »… Le temps passe et des vinyles de plus de trente ans deviennent porteurs de nostalgie eux aussi. Mon avis personnel, déjà exprimé est que cette période au niveau pop n’est guère créative. Il est vrai que les années précédentes étaient exceptionnelles. Cela n’empêche heureusement pas de grands musiciens de s’exprimer. Ce n’est donc pas un hasard si trois des disques que je présente sont de groupes ou artistes qui ont « explosé » durant les sixties… Mais je revendique ma totale non objectivité vu mon « statut » de baby-boomer ! En tout cas ces vinyles, avec leurs cotations assez basses, ont un bon rapport/plaisir d’écoute.
(Voir les commentaires relatifs à ces cinq disques sous les photos en bas de la page.
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(1, 2, 3). The Troggs, « Black bottom » (1981), New rose 88.522, 15 euros* / Les Troggs, c’était, on le sait, groupe important durant les sixties. Ce disque nous remet dans l’ambiance musicale du groupe. Certes l’esprit « brut » de leur période sixties ne se retrouve que sur certains morceaux. Mais écouter de nouveau la voix sensuelle de Reg Presley, ce son qui malgré tout nous rappelle…
« Wild things » (entre autres) !
(4, 5, 6). King Crimson, « Beat » (1982), EG 2311 156, 20 euros* / De nouveau la production « années 80 » d’un groupe sixties mais un peu plus tardif que les Troggs. Un style toujours aussi novateur mais différent. Une musique délirante comme j’aime, intéressante en tout cas, qui fait que j’écoute ce disque de temps en temps.
(7, 8, 9). Mike Fleetwood’s Zoo, « I’m not me » (1983), RCA PL 84652, 10 euros* / Ce disque illustre mes écrits précédents relatifs au manque de créativité de cette période. Une écoute agréable, de bons musiciens mais tout de même une impression de « déjà entendu ».
(10, 11, 12). The Cure, « Concert / The Cure live » (1984), Polydor Fiction 823 682, 17 euros* / The Cure va me faire mentir au niveau de mon affirmation du manque de créativité des années 80. Il y eut tout de même des choses intéressantes et novatrices. Cure fait partie de la tête de liste de la New wave. Nombreux étaient les « curistes » durant les années 80 et c’était mérité. Ce double album présente à mon avis le top de leur production.
(13, 14, 15). Mike Jagger, « Primitive cool » (1987), CBS 423 123 1, 15 euros* / Les disques solo de Mike Jagger m’ont rarement enthousiasmé. Celui-ci pourtant tient la route. Sa voix est bien mise en valeur…