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HISTOIRES DE DISQUES
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Tous les mois je vous présente des photos autour d'une thématique. Cette rubrique sera récapitulée sur une série de pages du sites au fur et à mesure des publications. On va soit les retrouver dans la rubrique "Histoires de disques" soit dans la rubrique "Nostalgie sixties". (Voir le plan du site sur la page d'accueil) |
Actuellement on parle de « Stand up », autrefois on disait « comiques, fantaisistes », peu importe ils sont tous de la même famille. Presque tous ces disques ont été présentés sur le site, comme d'habitude tous sont tirés de ma collection. Il m’a semblé intéressant de rassembler ceux qui me paraissent les plus emblématiques dans mes souvenirs sur une page unique. Voici donc 18 "raconteurs de blagues" (on dit maintenant "vannes") des années 1954 à 1967. Ils ont tous, hélas, la triste particularité d’être décédés… Je traiterai un de ces jours les années 70-80.J’ai de la matière pour ce type de disques, les cotations basses expliquent pourquoi. Si on est intéressé, ne pas se priver de les acheter. Toutefois, même à prix d’ami encore faut-il les dénicher…
Cliquer sur les images pour les visionner en plus haute définition.
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Photo 1 (1954 son premier 33 tours) Robert Lamoureux : 33 tours 25 cm « …dit et chante ses derniers succès » Philips N 76 065 R / Cotation : 18 euros Robert Lamoureux chantait et parlait… Je me souviens bien de son « Papa maman la bonne et moi » de son « Canard », de plein de choses de lui qui passaient à la radio, bien avant qu’il se recycle dans des seconds rôles au cinéma. A noter que JM Bigard s'est inspiré du style "Robert Lamoureux". Il a eu l'honnêteté de le signaler, ce qui n'est pas toujours le cas au niveau de ces "ressemblances de spectacles", l'actualité l'a évoqué récemment pour certains "jeunes" comiques. Photo 2(1956 son premier 33 tours) Pierre-Jean Vaillard : 33 tours 25 cm« … vous parle de » Fontana 660 200 MR / Cotation : 12 euros* Là encore des souvenirs radiophoniques… A sept ou huit ans je ne comprenais pas grand-chose de ces tirades destinées aux grands, mais j’aimais bien sa diction particulière, faussement « bourgeoise ». Je percevais que sous une tonalité mondaine il proférait des énormités (pour l’époque qui était très restrictive au niveau de la création en général et l’irrévérence envers les "grands" dirigeants en particulier). Les rires parentaux, quelques « gros mots » susurrés toujours avec cette intonation "sérieuse", (là je comprenais bien), me confortaient dans mon analyse. En plus j’ai pu le voir sur scène. C’est là que le terme « fantaisiste » prenait tout son sens. Entre certaines blagues il produisait des sons comiques avec sa bouche, derrière sa paume de main repliée. Le sifflet de la locomotive du train présidentiel, sur fond de bruit de pistons, boggies, se mettait à jouer « La Marseillaise ». « Savez-vous, mes amis que j'ai été convoqué au tribunal ?.. En effet j’avais dit que Debré est un c.. J’ai été condamné pour divulgation de secret d’Etat ». (…) « Entrant dans la mer je m’avançais jusqu’à avoir de l’eau jusqu’au Pompidou », ce type d’image m’amusait… J’avais entre sept et huit ans…J’ai toujours du plaisir à réécouter Pierre-Jean Vaillard, rien que pour entendre le son de sa voix, j’imagine mes parents à côté de moi, autour de la radio, en train de sourire... Photo 3 (1957) Jacques Dufilho : 33 tours 30 cm « La visite du château » Fontana 6444 028 / Cotation : 15 euros* Je n’ai dans mes souvenirs enfantins de cet artiste que cette « visite du château ». Longtemps après je ne faisais toujours pas le parallèle entre l’acteur Jacques Dufilho, son physique si particulier qui le cantonnait souvent à des rôles style « adjudant Joss » et cette voix aigue faussement féminine. Ce sketch comme d’autres grands classiques du rire repassait à la radio des années plus tard et même encore de nos jours. Il n’est pas trop démodé et tient la route. Pendant des années, lors de ses débuts artistiques, il faisait de la scène comique. Un de ses personnages féminins dans une pièce avait cette voix aigue. Ce n’est que plus tard qu’il lui fit reprendre vie pour créer cette guide touristique pour le moins folklorique. |
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Photo 4 (1957 son premier 33 tours) Jean Richard : 33 tours 25 cm Eponyme ; Philips N 76.091 / Cotation : 12 euros* L’aspect purement auditif de mes souvenirs de la fin des années cinquante début soixante avec la radio explique encore mes souvenirs autour de Jean Richard. Cette façon particulière de s’exprimer : « ahuri sympathique au parler pittoresque qui fleure bon le terroir » décrite par Wikipedia rendait son écoute sympathique pour un enfant… La suite de sa carrière avec le cirque, l’inspecteur Maigret est une toute autre histoire contrastant finalement avec cette période « cabaret » de ses débuts. Photo 5 (1957) Roger Pierre, Jean-Marc Thibault : 33 tours 25 cm « 33 p’tits tours et puis s’en vont … » : Ducretet Thomson 260 V 038 / Cotation : 20 euros* Leur abondante discographie en témoigne, ces deux-là étaient partout, même en l’an 1957 ce n’était pas leur premier 25 cm. Plus tard aux débuts de la télé ils nous étaient « imposés ». J’emploie ce terme car ils étaient vraiment omniprésents. Je ne les ai jamais vraiment appréciés, le rire, même le sourire ne se commandent pas. Même de nos jours, malgré les nombreux médias certains artistes que l’on n’apprécie pas particulièrement se retrouvent partout avec cet effet « panurgier » de beaucoup des producteurs d’émissions de variétés. En tout cas les nombreux vinyles de ce duo à succès sont eux aussi le témoignage sonore d’une époque. Photo 6 (1958 son premier 33 tours) Raymond Devos : 33 tours 25 cm « N° 1 » Philips B 76 415 R / Cotation 20 euros* Le premier album de Raymond Devos, je fus très heureux de le dénicher en très bon état. « Fantaisiste » jamais le terme fut autant mérité. Numéros proches du cirque avec des instruments de musique divers et parfois improbables (scie musicale) complétaient les sketches dont certains sont pour moi inoubliables. Arriver à saupoudrer le comique de poésie, jongler avec les mots c’était sa signature. Son physique était oublié il fascinait avec son faux air d’éternel étonné. Certains de ses textes étaient également « subversifs » ce qui était loin de me déplaire mais sans méchanceté lourde. S’il « balançait » il fallait décrypter pour le percevoir. (Air étonné…) « Figurez vous qu’en passant dans ma rue je suis tombé en arrêt devant une boîte à lettres de la poste. Je vois écrit dessus « Jésus revient … » (long silence, expression ébahie encore plus marquée)… « Jésus revient ? Ça alors… » (nouveau silence puis très fort) « Je regarde autour de moi, abasourdi... les gens passaient… comme si de rien n’était… alors que Jésus revient ! Incroyable non ? ... Alors comme ça Jésus revient et ça ne vous fait rien ? A moi ça me fait beaucoup ! » |
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Photo 7 (1960) Jean Poiret, Michel Serrault, Jacqueline Maillan : 33 tours 30 cm « " Sketches célèbres " Les débuts de deux « très grands », que dire de plus... Ce disque ne peut qu'émouvoir les innombrables amateurs de ces deux artistes d'autant que par exemple le sketch « Le permis de conduire un orchestre » reste un grand classique du comique français. Lorsque je l’entendais à la radio encore une fois j’ignorais leur apparence physique. Le reste de leur répertoire comique m’était totalement inconnu. Seuls les clients des cabarets parisiens les connaissaient vraiment. Comme tous les français ce n’est que plus tard que progressivement on découvrit deux grands acteurs qui autrefois "faisaient les comiques" sur scène. Photo 8 (1961) Fernand Raynaud : 33 tours 25 cm « Fernand à Londres » Philips B 76 455 R / 10 euros Fernand Raynaud c’était le grand fantaisiste des années soixante. Il exécutait également des numéros de mime mémorables. Je l’ai vu sur scène et l’aspect visuel de ces prestations « silencieuses » rendait leur comique accessible à tous, même à un « minot » comme moi à l’époque. « Le défilé militaire », « l’opération » c’était vraiment amusant si on le voyait sur scène, j’ai eu cette chance. Son répertoire comique « parlé » est impressionnant, à l’image de sa longévité dans le succès. Il n’écrivait rien mais interprétait brillamment. Certains textes eux aussi, pour l’époque, (il faut toujours le préciser) étaient engagés : antiracisme, antimilitarisme, voire avec des côtés écologistes… (sketche "Heureux"). Je l'ai évoqué dans mon livre CLIQUER ICI, "La caserne des arriérés", je pense que nous sommes nombreux à l'avoir connue. Pour le disque présenté ici on est dans ses débuts, ça a un peu vieilli, mais reste encore et toujours la nostalgie pour ceux qui ont connu cette époque maintenant lointaine. Photo 9 (1962) Roger Nicolas : 33 tours 25 cm « Ecoute Ecoute » Pathé XPT 831 / Cotation : 15 euros*
« Ecoute écoute »… et alors suivait une blague. C’était un truc de métier qui a assuré un semblant de notoriété à Roger Nicolas. J’avais une dizaine d’années et ces « écoute écoute » sont restés dans mon souvenir même si, comme souvent, je ne comprenais pas tout au niveau de l’effet comique de ces histoires.
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Photo 10 (1964) Francis Blanche : « Bonjour chez vous » 33 tours 30 cm Disc AZ LS 2 / Cotation : 8 euros* Francis Blanche… les jeunes connaissent tout de même grâce aux cultissimes « Tontons flingueurs » mais pour les plus anciens c’était un grand monsieur pour beaucoup d’autres raisons. Humoriste, acteur, auteur de chansons, animateur de radio, j’adorais le personnage. Son duo avec Pierre Dac « Le sar Rabindrana Duval » est encore très connu, là aussi on peut parler de classique de l’humour. « Papa Schultz » dans « Babette s’en va-t-en guerre reste aussi dans la mémoire de beaucoup « d’anciens » comme pour les plus âgés les canulars téléphoniques, « Marions-les » l’émission sur les plagiats musicaux (CLIQUER ICI pour la rubrique à ce sujet sur le site). J’ai eu la chance également de le voir sur scène durant les années soixante-dix. C’était une petite salle, il était tout près de ma rangée de fauteuils, j’ai ainsi pu admirer sa performance de près. Il assurait le bougre, du gros rire certes mais très efficace. Il savait jouer avec le public, certains sketchs proches du mime pour lui aussi…
Photo 11 (1964) Guy Bedos :Eponyme ; 33 tours 30 cm Barclay 80252 / Cotation : 10 euros* Guy Bedos vient de nous quitter… Je suis vraiment triste en y repensant. Lorsqu’il devint célèbre j’avais l’âge de comprendre tous ses gags et en plus il faut gérer le second degré… Lui il envoyait vraiment du bois, c’était effectivement engagé et donc ne devait pas plaire à tout le monde. Quoique... ceux qui, je l'ai vérifié, ont des problèmes avec le second degré... pour exemple rient grassement avec "le voyage au Maroc" mais pour eux c'est un texte raciste... Je pense qu’après ses débuts, illustrés par ce disque, son duo avec Sophie Daumier lui donna un coup de pouce pour se faire vraiment connaître. Ensuite il put continuer en solo avec le succès qu’on lui connaît. Outre les merveilleux textes de Dabadie il avait un sens de l’impro. incontestable, démontré à chaque show lors de l’inoubliable revue de presse. Bordeaux, salle de spectacle de l’Alhambra, années 70 : Guy Bedos arrive, "gambadant" sur scène. Aussitôt, au milieu des applaudissements il s'immobililse soudain, la main sur le front, scrutant les fauteuils... il demande au public : « Chaban n’est pas là ? » Un peu plus tard, on le sait, il y a toujours des retardataires qui se mettent en danger de « flinguage » lors d’un spectacle d’humoriste… Un bruit de pas précipités, un grincement de porte, ne passent pas inaperçus. Guy s’arrête net de parler, l’air interrogatif. Un membre du public prend la balle au bond : « C’est Chaban » déclare-t-il sous les rires. Bedos doit reprendre la main. Feignant la perplexité, il hoche lentement la tête d’un air de dénégation : « Chaban ?.. Par la petite porte ?.. Pas possible ! »
Photo 12 (1965) Jacques Bodoin : Eponyme 33 tours 30 cm Festival FLDZ 369 / Cotation 10 euros* La voix de Jacques Bodoin, je pense que beaucoup la connaissent, à part les « très jeunes ». D’abord il y a le doublage du chien Pollux lors de l’émission « Le manège enchanté ». Ce Yorkshire avec le flegme et l’accent anglais eut un grand succès qui alla plus loin que le public de cette émission enfantine. Ses longs poils jaunes étaient connus, il devint une véritable star. Son effigie se vendait sous diverses formes : jouets, porte clefs, voire décorations d'assiettes ! Avant Pollux il y avait le personnage de Philibert, cancre assumé, qui récitait avec une voix amusante. « Les tables de multiplication » ça plaisait aussi pas mal. Certes cela ne volait pas haut mais me faisait sourire à l’époque, comme beaucoup de monde. Pour un écolier les "tables" n'étaient (et ne sont probablement toujours pas actuellement) pas un sujet amusant... Grâce soit rendue à Jacque Bodoin de nous faire rire avec ce sujet... dramatique de l'apprentissage fastidieux des tables de multiplication. D'ailleurs, sans nos calculettes, il n'est pas certain que nous les connaissions toutes...
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Photo 13 (1966) Jean Yanne : éponyme ; 33 tours 30 cm Barclay 820 163 / Cotation : 12 euros* Il existe deux versions de ce disque, avec des références identiques. Seules les pochettes diffèrent. Bien que les possédant toutes les deux je présente celle-ci, semble-t-il plus rare et plus explicite que l’autre version. CLIQUER ICI Jean Yanne… à ses débuts faisait le pitre sur scène. On voit sur cette page que beaucoup d'acteurs ont suivi le même chemin et de nos jours également d'ailleurs. Certains sketchs comme « l’Auto-école », « les Routiers », sont je pense quasiment connus de tous vu les rediffusions régulières à la télé. Entendre un routier pleurer en écoutant du Charles Péguy lu par son équipier me fait toujours sourire. Ceci dit de nos jours les routiers sont seuls dans leur cabine, il peuvent hélas pleurer sur leur triste sort actuel. Il y avait aussi ce personnage de romain "antique" anachronique rappelant l'univers d'Astérix… Ce rôle de beauf qu’il endossait souvent m'amusait beaucoup. Son aboutissement fut son interprétation magistrale, mais là on était loin du comique, dans « Que la bête meure ». L’anticléricalisme de Jean Yanne explose dans « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », illustration de cette période de liberté audiovisuelle qui hélas, est un peu derrière nous en terme d’insolence et non-conformisme. C’est certain nous avons changé d’époque. Il fit d’autres films, interpréta d’autres rôles et, chaque fois qu’il en avait l’occasion nous amusait en réendossant ce rôle de rustre si réaliste. Un grand monsieur, disparu trop tôt.
Photo 14 (1965) Henri Tisot : « Vive la France » 33 tours 30 cm Pathé Marconi SPTX 340-743 / Cotation : 10 euros* Henri Tisot s’est fait connaître en imitant le général de Gaulle. Ses textes étaient loin d’être subversifs, plutôt gentillets. Cette caricature vocale du « Grand Charles »plut beaucoup à l'époque. Aller plus loin n'aurait pas "passé" sur les radios. HT eut un grand succès, en plus il était gaulliste et « Qui vous savez » (il n’osait même pas nommer le Général) n’était pas trop fâché… Seul le « Canard enchaîné » pouvait se permettre de vraiment brocarder le chef de l’Etat politiquement parlant. Beaucoup de français du coup s’amusaient eux aussi à imiter Charles de Gaulle. Ainsi, vers la fin des sixties, dans mon bahut un copain était assez doué à cet exercice. Un jour, lors d’un cours d’histoire le prof, évoquait notre ancien chef d’Etat... Soudain une voix caverneuse retentit, Guy en se baissant derrière son pupitre : « Ici Londreuuh, les Français parleuuh aux Français ! Nous avons perdu une batailleuh mais pas la guerreuh… » Simultanément je faisais les « Pom pom pom pom !» introductifs de l'émission française de radio Londres suivis de « tiluit tilulit tilulit » imitant les brouillages allemands sur cette radio… Nos copains riaient, c’était le but de notre « reconstitution historique » et bien notre prof. lui... non… Il n’avait pas du tout apprécié cette illustration sonore de son cours. D’une certaine façon, Henri Tisot par son exemple, portait une responsabilité autour de ce délire… Ce sosie vocal de De Gaulle en tout cas permit la vente de super 45 tours en quantité. (CLIQUER ICI) On en trouve facilement sous des titres différents parfois avec des illustrations amusantes dans les vide-greniers. Le stock semble inépuisable. Les 33 tours étaient bien plus rares, ce qui justifie pour moi l’intérêt de celui que je vous présente. Il fit également des imitations de Georges Pompidou, cela marcha un peu moins bien. Mais tout de même pas mal de vinyles furent vendus, vu tous ceux que l'on trouve également avec "Ponpon" comme tête de turc. (CLIQUER ICI). Henri Tisot eut lui aussi une carrière d'acteur. Je me rappelle de sa participation au feuilleton TV (en noir et blanc, sur une seule chaîne) "Le temps des copains". Photo 15 (1967) Les Frères ennemis : 33 tours 30 cm Philips P 70.423 L / Cotation : 12 euros* Ils se nommaient Teddy Vignault et André Gaillard, ils vécurent le même cursus que les artistes qui précèdent qui commence dans les cabarets parisiens. Leur truc, mis au point lors de leur première rencontre au service militaire c’était ce jeu de ping-pong verbal ultra rapide qu'ils pratiquaient sur scène. Ils apparaissaient dans nombre d’émissions de télé, et les radios appréciaient comme il se doit leur virtuosité oratoire. La fin du groupe c’est 1984, date de la disparition restée inexpliquée d’André Gaillard. Teddy est décédé en 2019, à 91 ans. D’autres "raconteurs de blagues" de cette période dorment sur mes étagères. Une pensée pour le duo Raymond Souplex/Jeanne Sourza, Jacqueline Maillan, Champi, Claude Véga, Patrick Raynal, Anne-Marie Carrière, Paul Préboist, Castel et Sahuquet, Pierre Dac, le Grenier de Montmartre, Jacques Grello…... |
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