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Parmi les disques de ma collection :1979... 1984 :
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(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques. Pour accéder aux photos ci-dessous en très haute définition, |
Je reviens avec cette page sur mon mea culpa relatif au jugement que je porte sur la musique pop des années 80… (il y avait Mickael Jackson, Queen… certes … Ah oui U2 c’était pas mal) Manque d’originalité certes pour nombre d’autres créations mais il y avait des exceptions, même au niveau français. Les artistes des quatre derniers albums présentés en sont une illustration. De la bonne musique « un peu » rock qui aide à oublier la pollution sonore disco de la décade précédente.
(Cliquer sur les images pour les visionner en meilleure définition).
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Photos 1, 2, 3 / (1979) Hydravion LP Stratos airlines, Carrère 67350, estimation 30 euros* = Un groupe pop-rock pas trop connu, voire peu connu, pour le collectionneur de vinyles, mérite l’attention et, dans mon cas l’achat de ce « Stratos airlines ». Un univers sonore particulier un peu spatial, un peu rock, agréable à écouter. Ceci écrit rien de très novateur, à l’image de ces années 80, à quelques exceptions près. La cotation indique, comme je viens de l’exprimer, encore et toujours un certain intérêt de la part de collectionneurs pour ce type de groupes pop-rock.
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Photos 4, 5, 6 / (1981) Bashung LP Pizza (Vertige de l’amour), Philips 6313.129, estimation 20 euros* = Cet album est vraiment « rock », par rapport à certain(s) autres de cette page. Longtemps je n’ai connu que « Vertige de l’amour » comme beaucoup de monde, pas les autres créations d’Alain Bashung… Ce vinyle « c’est de la balle » son morceau phare est complété par des titres qui tiennent vraiment la route. La tonalité est « optimiste » et contraste avec son album suivant. Quand à « Vertige de l’amour » qu’on l’aime ou pas il reste le marqueur pour nous tous de l’an 1981 question souvenirs. Il passait partout et sa tonalité « fun » rappelle des moments agréables sans doute à beaucoup, night clubs, plages, voyages et surtout… années en moins
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Photos 7, 8, 9 / (1982) Bashung LP Play blessures, Philips 6313.426, estimation 25 euros* = Le quatrième album de Bashung, après l’énorme succès de « Pizza/Vertige de l’amour ». Un bon album mais qui ne renouvelle pas pour l’instant le succès du précédent, d’où l’estimation légèrement plus élevée car vendu en plus petite quantité. Il est vrai qu’à l’époque le « son Bashung » était nouveau mais même près de quarante ans plus tard ce disque reste à écouter. Une photo assez réussie à mon avis sur la pochette et une très bonne qualité sonore à la fois de la matrice originale et du pressage du disque.
Au niveau du verso de la pochette une petite photo "sombre" de Bashung sur un fond noir qui me rappelle quelqu’un… Ah oui, Lou Reed, je parie que vous avez trouvé vous aussi. Là on a une ambiance plus glauque, ceci explique sans doute cela… En plus le « Martine boude » de la fin de la première face rappelle furieusement un morceau de l’ancien chanteur du Velvet Underground. Je ne vais pas me remettre en chasse aux plagiats/ressemblances musicales mais bon il y a un truc… Il est vrai qu’un créateur pop qui a une inspiration « noire » va normalement penser au style « Velvet underground »…
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Photos 10, 11, 12 / (1984) Nino Ferrer LP Rock n’ roll Cow-boy, Vogue 540057, estimation 20 euros* = J’imagine que beaucoup ignorent cette facette du talent de Nino Ferrer. Il s’essaie sur cet album à un nouveau style, des sonorités que je trouve très intéressantes. Une très belle pochette de Margerin au niveau de la qualité de cet album que je recommande.
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Photos 13, 14, 15 / (1984) Thiéfaine/Mairet LP Alambic/Sortie sud, Sterne STE 26517, estimation 15 euros* = Claude Mairet fut « le Laurent Voulzy » d’Hubert-Félix Thiéfaine. De 1979 à 1989 il compose la plupart des musiques de ce dernier. De l’avis de tous le meilleur de cette collaboration c’est cet album dont il a composé toutes les musiques. C’est la raison sans doute pour laquelle son nom est accolé sur la pochette et l’étiquette du disque à celui de HFT. Les textes ténébreux de ce dernier collaient parfaitement aux musiques de Claude Mairet. Ils se séparent pourtant vers 1989. Un graphisme sombre pour une ambiance musicale sombre, en tout cas un très bon disque, là encore aux sonorités originales, surtout à l’époque de sa sortie.