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Parmi les disques de ma collection :4 compilations pop-rock sixties
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(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques. Pour accéder aux photos ci-dessous en très haute définition, |
Cinq compilations intéressantes de la pop sixties suivent sur cette page. Ce type de disque permet l’écoute avec la qualité analogique de grands classiques des swinging sixties et également de découvrir des curiosités sonores de la même époque. Beaucoup des enregistrements originaux de la fin des années soixante sont difficilement accessibles question prix de vente, surtout pour des disques, quoi qu’en disent les vendeurs, qui craquent souvent vu leur passé tumultueux. Mais il ne faut pas trop rêver certaines cotations tout de même tiennent compte de l’intérêt de ces disques pour les vinylmaniaques. Parfois les marchands tenant compte de la difficulté de trouver ces enregistrements sur vinyle en profitent tout de même…
Cliquer sur les images pour les visionner en (légèrement) meilleure définition.
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Photos 1, 2, 3 / The Kinks, LP “Well respected Kinks”, 1966, Marble Arch MAL 612, pressage Canada, estimation
20 euros* / Je pensais cette compilation beaucoup plus récente. En fait elle est “d’époque” ce qui la fait rentrer dans le monde fermé du vinyle de collection. Elle contient bien sûr des grands classiques mais aussi quelques morceaux moins connus rendent souvent ces disques intéressants meme pour ceux qui ont déjà les enregistrements qu’ils contiennent. Ceci écrit à mon avis le meilleur best of des Kinks est celui que j’ai présenté jadis sur le site CLIQUER ICI Lui date de la période sixties et en plus il est en pressage français.
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Photos 4, 5, 6 / The Flower pot men, LP “Lets’go to San Francisco”, 1967/1985, C5 Records C5-526, pressage anglais, estimation 35 euros* / “Lets’go to San Francisco” j’adorais à l’époque. Un morceau long dans le style de l’époque, l’apogée du Flower power. Comme c’était fréquent il fut “coupé en deux” pour entrer sur le recto et le verso d’un single. L’occasion aurait été bonne de rassembler les deux parties sans interruption… hélas non, il y a un blanc sonore entre les deux parties du morceau. Les autres titters, je dois le reconnaître, ne sont pas passionnants. On comprend que ce groupe ait rapidement disparu des hit parade.
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Photos 7, 8, 9 / Jimi Hendrix, LP “Cosmic turnaround”, 1981, AFE, FELP 1002, pressage anglais, estimation
20 euros* / Ce disque d’Hendrix a le mérite de la rareté sur le marché français. Il contient comme souvent pour ce type de compilation des morceaux ébauchés d’Hendrix en studio. Plus de la moitié sont crédités “Hendrix”. On note le graphisme bizarre de la pochette. J’imagine que certains collectionnent tous les vinyles dont le contenu est attribué à Jimi Hendrix. Ce disque doit donc les intéresser, je ne l'avais jamais vu avant de l'avoir acheté juste avant le confinement...
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Photos 10, 11, 12 / The Small Faces, LP “The autumn stone”, 1986, Castle classics CLALP 114, double album, pressage anglais, estimation 25 euros* / Voici un disque indispensable, en tout cas pour moi. D’abord les Small Faces ce n’est pas facile à trouver. En plus avec une gravure de bonne qualité, sans parler de la pochette, voici la compil d’un groupe pop sixties à ne pas rater. Ceci écrit je pense ce double album n’est pas trop répandu en France. Le trouver sur les vide-greniers c’est hélas peu probable. Restent la vente en ligne, les conventions de disques, les marchands professionnels…
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Photos 13, 14, 15 / Spooky tooth, LP “Ceremony”, 1969/2016, Fontana 6444 540, pressage allemand, estimation
20 euros* / Je possède l’édition originale française de cet album que j’ai déjà présentée sur le site CLIQUER ICI. Cette réédition m’a intéressé par le graphisme de la pochette. La rencontre de Spooky Tooth et de Pierre Henry c’est un événement musical typique sixties. On le sait les recherches musicales partaient dans tous les sens... La pop anglaise mixée avec la musique expérimentale aboutit à cet album qui, plus de cinquante ans après, reste d’avant garde.