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Parmi les disques de ma collection :Cinq albums
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(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques. Sauf mention contraire pressage français. Cliquer sur les images pour les visionner avec une meilleure définition; Pour accéder aux photos ci-dessous en très haute définition, |
Le Jazz-rock… encore un style musical intéressant, en tout cas pour moi. Dans cette catégorie on a souvent des morceaux longs, l’instrumentalisation comme il se doit pour le jazz est mise en avant par rapport au vocal. Et surtout au fil des artistes, groupes, albums cela part dans tous les sens, dépaysement musical garanti. Comme on va le voir en plus on arrive encore à dénicher certains albums intéressants dans les vide-greniers donc pour ceux qui aiment ne pas se priver de ces disques.
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Photos 1, 2, 3 : The mothers of invention, Weasels ripped my flesh, Reprise records MS 2028 (1970) estimation
55 euros* / Chaque vinyle des Mothers est un nouveau concept à lui seul. En plus les musiciens changeaient souvent. Je pistais cet album depuis un certain temps. En plus j’adore sa pochette. Finalement, à la convention de collectionneurs de disques de Bordeaux-Vélodrome, juste avant « les événements », je me suis décidé. Le prix, même avec ce pressage original était plus bas que d’autres offres dans le même salon. Je me suis dit « Prix bas ? Aie Aie Aie !.. Peut-être qu’il gratte un peu et que cela explique le prix ». Et bien non, j’ai eu raison de faire confiance à ce petit « djeun » qui ne vendait que quelques vinyles dans un coin du salon…
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Photos 4, 5, 6 : Eleventh house (+L Corryell), Aspects, Arista 2C 066 97823 (1976) estimation 15 euros* / Larry Coryell + Eleventh house c’est la configuration typique jazz-rock me semble-t-il. Des soli électriques proches du rock progressif montant en intensité forte pour redescendre vers les sons les plus subtils. Ce disque, « trouvé » sur un vide-greniers a pu être négocié deux euros… Il y a certes des cas particuliers, souvent du jazz rock-tourné vers l’expérimental qui est davantage recherché donc tarifé plus haut mais sinon si on tombe sur certains des disques présentés ici (photos 4 à 12)
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Photos 7, 8, 9 : Bill Connors, Of mist and meling, Gema LC 2516 (1977) estimation 12 euros* / Bill Connors, c’est certain est plus « jazz » que « rock ». Mais la date de sortie de ce disque correspond précisément à sa période rock fusion… Très agréable à écouter une grande virtuosité à la guitare. Mais tout de même moins « rock » que le disque précédent. Je me répète mais cet univers musical pour un grand nombre d’artistes et groupes reste abordable en vinyle d’occasion.
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Photos 10, 11, 12 : Jean-Marc Padovani, Demain matin, Metro records M7 660 (1983) estimation 12 euros* / Là je dois reconnaître, nous sommes un peu hors sujet, ce disque est vraiment jazz. Cela ne m’empêche pas de le recommander car je le trouve très réussi. Finalement il aurait être positionné dans la rubrique « Jazz » du site. Cela me rappelle que j’ai également des « trucs » à mettre en ligne dans cette autre rubrique. Revenons à ce vinyle : Sections de cuivre très présentes, guitares en peu en retrait, je vous rassure on est loin du style big band ! Les sons partent souvent dans des directions non-conformistes, reviennent sages et plus tard ça repart… J’aime bien
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Photos 13, 14, 15 : Magma, Live, Label du bon indépendant 2404433 (double album, 1985) estimation 45 euros* / Je vais de nouveau évoquer ce groupe que je trouve toujours autant intéressant. Le zeuhl c’est tout simplement une recherche musicale tous azimuts avec donc du jazz mais aussi du rock, de l’expérimental, du folk, du classique… au gré de l’imagination des artistes et ils n’en manquent pas ! Ce disque live reprend comme il se doit des morceaux déjà gravés sur d’autres disques. Mais que l’on soit en studio ou en public, jamais un morceau ne sera joué pareil ! Ceux pour qui comme moi, pour ce genre de musique il n’est pas vital de comprendre les paroles, le « kobaïen », langue inventée par la groupe ne pose pas problème. Elle ajoute encore plus de mystère à cette musique que l’on peut imaginer venir « d’ailleurs »…