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"Tirés" de ma collection /Six 33 tours Pop-Rock 1er août 2024 |
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Disques présentés en ordre chronologique. Sauf indications contraires Cotations indiquées |
Certes la période estivale est calme questions vinyles surtout dans mon cas pour différentes raisons. Mais j’ai tout de même des choses nouvelles qui m’ont intéressé et que j’ai donc négociées. Pour moi déjà cette période des années 80 c’est presque des disques « récents » par comparaison aux vieilleries auxquelles je m’intéresse prioritairement.
Paul McCartney LP Tug of war,
Parlophone 2C 070 – 64.750, 1982, estimation 12 euros*
Deuxième album de Popol vraiment solo mais onzième après la fin des Beatles. Edité après la mort de John Lennon… Un million d’exemplaires aux USA…
McCartney en général pour moi cela reste toujours intéressant à écouter. Il y a bien entendu le très grand succès Ebony and ivoiry en duo avec Stevie Wonder, on pourrait presque s’en passer tellement on le connaît par cœur… On l’entendait sur toutes les radios et je pense c’était mérité.
Aretha Franklin+ K Richard,
maxi 45 tours 30 cm,
« Jumpin’ Jack flash »,
Arista 608 536, 1986,
estimation 8 euros*
Une curiosité sonore, en plus ce format bizarre de disque m’a intéressé. Bon finalement il n’y a que cette reprise avec des « trucs » sonores complémentaires pour boucher les trous mais ce « Jumpin’ Jack flash » mérite l’écoute, c’est tout ce que je peux écrire à ce sujet. La présence de Keith est plus que discrète sauf au niveau du délicat et incontournable financement, car il en est le producteur… Exceptionnellement je présente le verso de la pochette en premier, il résume le contenu pour le moins « étriqué » mais bon si vous êtes chineur le rapport qualité prix reste bon, le seul ennui c’est de devoir tourner le disque assez vite sur la platine !
Carmel LP Everybody’s got a little… soul
LP London 828 067-1, 1987, estimation 10 euros*
Quatrième album de la chanteuse anglaise dont le nom à ses débuts était aussi celui de son groupe. Ce disque se veut avec une inspiration soul, je trouve pas mal à l’écoute bien que ne connaissant pas trop la chanteuse. En fait dans un lot de disques qu’une personne m’avait carrément offert, il y avait ce disque. Normalement dans ce cas de figure je trie et donne à une asso ce qui ne m’intéresse pas… J’ai gardé Carmel que j’écoute de nouveau actuellement, pas mal, surtout pour l’époque me semble-t-il. Normalement on peut le trouver sur les vide-greniers pour quelques euros, cela n’empêche en rien dans ce cas comme tant d’autres d’écouter pour pas cher de la bonne zizique. Côté pochette… on peut s’appeler Carmel et ne pas avoir forcément le look d’une religieuse, qu’on se le dise.
Patti Smith LP Dream of life, Arista 209 172, 1988,
estimation 25 euros*
Cinquième album mais le premier depuis la dissolution de son groupe originel The Patti Smith group. Bien qu’il ne soit pas son plus célèbre j’adore ce disque d’où son achat, en toute logique. Du fait de l’avoir sorti de son étagère, rubrique pop-rock années 80, il est passé plusieurs fois sur ma platine dite « de bureau ». Sur la photo noir et blanc elle paraît jeune, logique il y avait 36 ans, mais tout de même je pense que Photoshop est passé par là. Elle est une des grandes chanteuses pop-rock historiques en action et produit encore des shows mémorables.
John Cale
LP Words for the dying,
WB926 024-1, 1989,
estimation 30 euros*
John Cale, personnage énigmatique, un peu effacé par Lou Reed dans l’aventure du Velvet underground. « The Falklands suite » est une création sonore qui peut désorienter certains. Je trouve ce disque intéressant, il faut rentrer dans l’univers de J Cale.
Son douzième album solo, juste avant « Songs for Drella » dont la découverte m’avait incité à m’intéresser davantage à John Cale. John et Lou, on ne peut parler de joyeux drilles, le look, le style, pour le rock forment un tout. Restent en tout cas des plages de disques à écouter…
Nirvana LP « Unplugged in New York », 07206424722 712, 1994/2008, estimation 35 euros*
Nirvana reste pour moi un must, pour ne pas écrire une quasi exception au niveau qualité pour la période dite « de la fin du vinyle ». Le son grunge et bien entendu Kurt Kobain, obligé d’avoir quelque chose sur ses rayonnages. J’avais entendu cet enregistrement à la radio juste le soir de l’annonce de son décès… L’album n’était pas encore réalisé. J’ai aussi un grand intérêt pour Courtney « Doll parts » Love, là aussi projets d’achats à venir…