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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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« Histoires » de disques
(récapitulation n° 1)...

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Tous les mois je vous présente quatre scans autour de deux thématiques : « "Histoires" de disques » et « Nostalgie des années soixante »

À noter, pour les visiteurs "historiques" du site en 2003 et 2004 qu'ils retrouveront certaines photos déjà publiées mais qu'il m'a paru intéressant de conserver en permanence sur le site :
ces rubriques seront en effet récapitulées sur deux série de pages du site au fur et à mesure des publications.

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

Spécial 1964... (01/01/07)

1. « Pilote » n° 261
22 octobre 1964...
2. Revue « Juke box »
Belgique (1964)
2. Revue « Juke box »
Belgique (1964)
4. Publicité Simca
(1964)

1. "Pilote" numéro 261 du 22 octobre 1964 : "Spécial An 2000" Il y a plus de 42 ans la rédaction de l'hebdomadaire (à l''époque) "Pilote" prévoyait avec beaucoup trop d'optimisme la conquête spatiale et pensait que la Lune, Mars et Vénus (tant quà faire) seraient occupées en permanence par l'Homme qui y aurait installé des bases fixes ! Ceci dit il y a un projet de base sur la lune mais qui n'est pour le moment qu'en gestation...

2 et 3. « Juke box »...Cette revue belge, datée de 1964, reflète parfaitement comment les gens bien pensants percevaient les Stones...(Remerciements à Richard Baert).

4. « La Simca 1000 »...A travers ce jeu publicitaire, qui matérialisait la récupération commerciale des chanteurs yé-yé rappelons-nous avec émotion cette petite Simca, digne héritière des autos "tout à l'arrière" (4 cv Renault, Dauphine...) qui avaient la particularité d'être attirées irrésistiblement par les arbres en bord de route, surtout lorsqu'elles étaient conduites allègrement par des jeunes en vadrouille...

Électrophones... (01/06/2018)

1. Un coup de chifffon et l'extérieur brille comme "sorti de l'usine"
2.On est souvent surpris par la petite taille et fragilité apparente des fils et de la prise qui sont pourtant comme neufs
3. La partie "platine" rappelle curieusement "vue d'avion" par sa forme dépouillée la très moderne "Project" actuelle
4. Le sélecteur de vitesse de rotation comporte toujours "78 tours" pourtant en 67 les jeunes ignoraient royalement ce format...

En Charente Maritime, lors d'un vide-greniers, il était là, il m'attendait. Le légendaire électrophone Teppaz Ballad' trônait sur l'étal d'un vendeur. En plus l'état visuel était exceptionnel, la bête, malgré les ans était immaculée et brillait sous les rayons du soleil matinal.

— Est-ce qu'il marche ?

C'est la question rituelle qui pourrait également se poser au sujet d'un enfant mais qui concerne tout de même un "bébé" tourne-disques.

— Je vous le garantis, vous pouvez allez le tester là-bas...

— Si vous me le dites cela me suffit.

Ouais, on dit ça mais, tant que je n'ai pu le brancher il y a toujours un petit doute... Ensuite il y eut le marchandage rituel. Nous "topons" à 25 euros, vu l'état c'est un bon prix. Arrivé at home c'est le grand moment... Une prise, un 45 tours en place, le bras légèrement tiré en arrière pour "armer le disque", je pose délicatement la pointe de lecture et un son clair envahit la pièce. Vu l'âge et la simplicité apparente de ces appareils on a tous un a-priori négatif au niveau de la qualité sonore. Pourtant ceux qui ont l'occasion d'auditionner un Teppaz en bon état sont toujours surpris par leur musicalité.

Je ne possédais jusqu'ici dans cette marque qu'un "Oscar Senior" de 1961 déjà évoqué sur le site (CLIC ICI) lui aussi en état de marche et acheté au même prix... Ce nouveau "Ballad'" est lui sorti en 1967. Cela me permet d'oser le titre "le son de 68". Plus de bakélite, remplacée par le plastique, mais tout de même encore du métal... Reste l'éternelle question : pourquoi acheter un appareil que vous n'utiliserez presque jamais ? La nostalgie toujours, bien entendu. Je ne dois pas être le seul car pas mal de chineurs s'intéressent à la marque Teppaz. Le plus étonnant c'est le regard des enfants lorsqu'ils écoutent un électrophone. Peut-être proche du nôtre lorsque nous écoutions nous aussi, généralement assis par terre, comme autour d'un feu de bois, il y a cinquante ans et plus maintenant.

Électrophones... (01/03/07)

1. « Teppaz » un logo mythique...
2. Le Look unique du Teppaz
3. Électrophone Claude
4. Électrophone Radiola

Ces appareils ne peuvent laisser le vinylmaniaque indifférent... Nostalgie bien sûr encore et toujours et symbolique particulière de ces petits tourne-disques destinés aux teenagers, cadeaux de communion, d'anniv. ce cerfif... En observant les quelques modèles que je possède (pour l'instant) j'imagine sans peine les copains réunis autour comme auprès d'un feu de bois écoutant et réécoutant inlassablement la bonne parole yé-yé gravée sur les quelques 45 tours qu'ils ont pu (ou se sont fait) payer. On peut en trouver sur les vide-greniers à des prix abordables mais il faut en quelque sorte jouer à pile ou face : pile je fais une bonne affaire, face je me retrouve avec un truc qui ne vaut pas grand chose voire rien. En effet le problème commence lorsque l'on pose la question qui tue : « Est-ce qu'il marche ? » Si on vous répond sans hésiter "oui" ou mieux encore "si vous voulez on peut le brancher un peu plus loin" les risques sont faibles encore que le fait de "marcher" peut signifier un son de mauvaise qualité, mais si on vous répond "Je ne sais pas" ou "Je n'ai pas pu l'essayer" dans ce cas danger ! Car à moins d'être un spécialiste réparer un tel engin n'est pas facile et revient finalement plus cher que de l'acheter chez un spécialiste qui vous le cèdera (150 euros pour un Teppaz nickel).

1. « Le bon rock ça s'écoute sur un vieux Teppaz qui gratte, pas sur une chaîne d'une brique ! » (Extrait d'un numéro de "Rock and Folk" période sixties) Un des logos les plus typiques et symboliques des sixties "Teppaz" Ces appareils se collectionnent, et donc se vendent relativement cher, d'autant que les antiquaires avec la mode de la déco des années soixante font encore plus monter les prix.: Bien qu'assez populaires ls n'étaient pas les plus répandus, car relativement chers mais d'une qualité et surtout d'un design inoubliable...

2. Le Teppaz que je possède, bien que vieux, ne gratte pourtant pas... La puissance de ce petit appareil à lampes surprend et l'odeur de bakélite chaude est le luxe qui nous est réservé heureux possesseurs de ces petites merveilles encore en état de fonctionnement. (Teppaz Oscar)

3. Cet autre appareil à transistors un peu plus récent m'a séduit par son habillage en bois et les mécanismes des "changeurs de disques automatiques" enchevêtrés qui devaient susciter l'admiration à l'époque devant "tant de technologie". (Claude)

4. Les appareils Radiola étaient en fait des Philips, vendus sous une autre marque pour des raisons obscures de zones d'influence commerciale. Ce modèle par sa simplicité absolue est l'exemple typique de l'électrophone le plus répandu chez les jeunes de l'époque.

Pour conclure je vous rassure je n'utilise que quelques disques sur de telles machines dont les saphirs étaient de véritables charrues qui réduisaient rapidement la durée de vie des microsillons et expliquent en grande partie l'état de certains vinyles utilisés avant l'avènement des chaînes hi-fi avec force d'appui réglable.

Un collector dans mes filets ?.. (01/04/07)
1. Recto classique de "Shaved fish".
2. Recto du disque hors-série
3. Verso classique de "Shaved fish"
4. Verso du disque hors série

En ce début d’avril j’ai eu beaucoup de chance semble-t-il... En effet lors de la visite d’un dépôt vente près du port de La Rochelle je suis “tombé” sur cette intéressante version de l’album de John Lennon + Plastic Ono band “Shaved fish”. Vous vous doutez de mon étonnement lorsque arrivé chez moi j’ai pu comparer ce disque avec celui que je possédais précedemment (voir les quatre scans). Il semblerait que Lennon ait réalisé un projet de son disque en y incorporant en lieu et place du Plastic Ono Band le groupe de Country-rock américain “Country Joe and the Fish”. Les contacts fréquents de Lennon aux USA avec les tenants de la contre-culture dont Country Joe Mc Donald (alias “the fish) était un des leaders expliquent peut-être cette pochette inédite à ma connaissance. Qu’en pensez-vous, avis aux beatlesmaniaques car j’aimerais avoir des infos sur ce disque dont l’histoire m’est pour l’instant inconnue...

Spécial « Pompidou »... (01/05/07)

1. Georges Pompidou
(photo officielle).
2. Henri Tisot
(Imitations de G. Pompidou)
3. Miguel Cordoba
(Single)
4. Archibald
(single)

Je vais évoquer un personnage incontournable des années vinyle qui tombe un peu dans l'oubli, même si son nom via le centre Beaubourg alias « Pompidou » est parfois prononcé et que monsieur Sarkozy et ses amis UMP se réclament toujours de lui.... Il assura à la fin des sixties la « relève » de de Gaulle et fit apparaître davantage l'aspect réactionnaire de la droite française, un peu caché derrière l'aura de Charles de Gaulle (et surtout par une presse aux ordres)... Fidèle à l'esprit du site je n'aborderai Monsieur Pompidou que par le petit bout de la lorgnette « vinylistique » : il est curieux de constater que ce personnage, pourtant loin d'être un joyeux drille, généra plein de créations comiques autour de son nom, irrévencieusement transformé en « Pompom ». Comme quoi le comique est toujours basé sur les choses dramatiques, la guerre, les enterrements, la pauvreté, Pompidou... En prélude à ce qui nous attend probablement vu l'évolution actuelle des élections, rappelons-nous la chanson populaire lors des manifestations sur l'air de « Il était un petit navire » :
« Il était un premier ministre,
il était un premier ministre,
qui n'avait ja-ja-jamais travaillé
qui n'avait ja-ja-jamais travaillé
ohé ohé !
ohé ohé Pompidou
Pompidou navigue sur nos sous
ohé ohé Pompidou
Pompidou navigue sur nos sous (...) »

1.— La photo « officielle » qui, mieux qu'un long discours résume bien l'aspect « progressiste » du personnage, son visage souriant et avenant ;
2. —Tout d'abord l'humoriste Henri Tisot qui, bien que très modéré (lorsque l'on compare des années plus tard avec Coluche ou Bedos cela fait sourire), était jugé comme subversif par certains tenants de « l'ordre » gaulliste : lui aussi, après avoir plaisanté respectueusement sur « Le Grand Charles » assura la transition afin de poursuivre sa carrière avec « Pompom » ;
3. — L'illustre Miguel Cordoba a « commis » un single consacré à Pompidou dans les années soixante-dix ;
4. — Les années disco ont également rendu « hommage » à notre si sympathique président de l'époque... sa relève va peut être être assurée dans les jours qui suivent. Probablement que comme la pédophilie (dixit Nicolas Sarkozy) pressurer la France a un côté héréditaire...

PS/Au sujet du collector (album de John Lennon « Shaved fish ») évoqué le premier avril dernier (voir archives scans du mois) vous avez sand doute deviné qu'il s'agissait d'un mauvais canular, un « fish » d'avril. Bien entendu Country Joe and the fish n'ont rien à voir avec la réalisation de cet album !

1963 : Quand « Pilote » jouait la carte yé-yé... (01/06/07)
1. « Pilote » n° 183 (1963).
2. Les lecteurs de « Pilote » découvrent Johnny Hallyday
3. Toutes les semaines « Pilote » offrait une chronique du Golf Drouot
4. Sacha Distel et Petula Clark...

Ce mois-ci je vais encore évoquer la revue « Pilote » que vous connaissez sans doute car c'est dans ses pages sous la férule de Roger Goscinny que naquit Astérix, et que plein de dessinateurs auteurs de BD de talent prirent leur départ : Gottlib, Cavanna, Reiser, Fred, Cabu etc. Ce journal pour les jeunes paraissait toutes les semaines à l'époque et au début des années soixante dut comme bien d'autres s'adapter et évoquer dans ses pages le phénomène yé-yé.
1. — En 1963 une couverture avec Johnny Hallyday c'est l'assurance d'avoir du succès auprès des jeunes.
2. — La France découvrait cette nouvelle vedette qui révolutionnait toute la variété française.
3. — Le Golf Drouot, fréquemment évoqué avait des invités qui n'étaient pas systématiquement yé-yé (ici on voit Fernand Raynaud).
3. — Pour finir un peu d'humour (noir) avec cette photo de 1963 montrant Sacha Distel et Petula Clark lors d'une balade en Porsche... Lorsque l'on sait que le 28 avril 1985 Sacha Distel est victime d'un accident de la route à bord d'une Porsche (encore) avec Chantal Nobel, héroïne du feuilleton télé « Châteauvallon ». Chantal Nobel grièvement blessée en ressort handicapée à vie, lui même légèrement blessé sera condamné à un an de prison avec sursis pour blessures involontaires. On peut imaginer que Petula Clark en revoyant cette photo plus de vingt ans plus tard dut avoir une frayeur rétrospective en se remémorant avoir été la passagère de Sacha, également sur une Porsche dans les années soixante...

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(ICI Suite) "Récapitulation scans du mois" (2/3)

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