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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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« Histoires » de disques
(récapitulation n° 21)...

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

Tous les mois je vous présente quatre photos autour de deux thématiques : « "Histoires" de disques » et « Nostalgie des années soixante »

Ces rubriques sont récapitulées sur deux séries de pages du site au fur et à mesure des publications. (voir liens ci-dessus)

The Spencer Davis Group :

01/10/13

"Automn 66" du Spencer Davis Group
"Gimme some lovin" du Spencer Davis Group
"I'm a man" du Spencer Davis Group "The Best ot the Spencer Davis Group"
2. "Automn 66"
33 tours 30 cms
Island 201 657-241
(1966)
2. "Gimme Some Lovin"
EP 45 tours
Fontana 465 337
(1966)
3. "I'm a man"
EP 45 tours
Fontana 465 360
(1967)
4. "The best of the Spencer Davis Group"
33 tours 30 cm
Island ILPS 9070 (1971)

En 1963… naquit « the Spencer Davis Group »… Ce groupe anglais (Birmingham) était composé de Spencer Davis à la guitare, Muff Winwood (le frère aîné de Stevie Winwood) à la basse, et dePeter York à la batterie.. Il y avait surtout cet extraordinaire musicien pop Stevie Winwood. Ce dernier arrivait du jazz et du blues. Il accompagna ainsi des grands du blues comme Memphis Slim. Organiste, guitariste, on remarquait également sa voix chaude et forte très bluesy…
Il aurait dû s’appeler « the Stevie Winwood Group » si on voulait être équitable… Donc en ce début des sixties une succession de classiques de la pop rock. Keep on running (65), Somebody help me (66), When I come home (66), Gimme some lovin (66), I’m a man (1967)…Autant de super 45 tours que je rêvais de posséder !
Le départ de Steve Winwood du groupe marque la fin du Spencer Davis Group. Ce dernier fut éphémèrement remplacé par « the New Spencer Davis Groupe ». En revanche Steve Winwod fonde ensuite Traffic puis Blind Faith, avant de se lancer dans une carrière solo durant laquelle il va « placer » deux tubes aux sommets des hits des années 80…
Je place ce groupe en exergue ce mois-ci car pour moi, du haut de mes 14 ans, l’écoute du Spencer Davis Group fut une vraie révélation et je n’étais pas le seul. Une musique qui reste encore écoutable avec plaisir et qu’on entend d’ailleurs souvent.

1966-1967 :
les filles se lâchent !!!

01/02/14

Youtube... cette banque de vidéos est finalement très intéressante pour le nostalgique sixties (entre autres choses). On va pouvoir ainsi écouter et parfois visionner de vieux "trucs" pas évidents à trouver de nos jours... J'ai fait une petite sélection autour d'une thématique qui j'espère vous plaira. Bien entendu le son n'est pas toujours (voir jamais) bon... Déjà il faut de bonnes enceintes sur votre ordi, sans parler d'une carte son de qualité, etc. Mais de toutes façons rien ne remplace l'audition de ces vieux vinyles sur une non moins vieille platine... Certaines chansons en version filmées sur Youtube, genre scopitones, émissions de télé, ont le son encore plus mauvais... J'ai donc souvent choisi des clips "d'internautes qui ont enregistré leurs vinyles avec une image fixe en arrière plan", le son (moins mauvais possible) avant tout...
J'attends vos commentaires et infos éventuelles si certains liens, avec le temps s'avèrent brisés...
A noter également que la plupart de ces disques sont de vrais collectors (voir cotations sur le site). A moins de beaucoup de chance, les écouter avec le son vinyle reste un très coûteux luxe ! Signe que je suis hélas loin d'être le seul interpellé par ces chansons. (La mise sur un site de liens pointant vers Youtube est légale, le site propose d'ailleurs cette fonction. Cependant, toute demande éventuelle d'ayants-droits sera suivie de la supression des liens concernés).
Sélection de vidéos "Youtube" de chansons humoristiques
par les "yéyé-girls"
des swinging sixties.
Certaines sont réellement réussies, d'autres ne sont intéressantes que par l'aspect "historique"... Toutes témoignent, à travers leur style, de la libération féminine des années soixante, même si c'est pris (prudemment) un peu par la dérision... On va trouver souvent l'évocation de l'actualité de l'époque, domaine jusqu'alors réservé aux "vieux" et que s'attribuent les jeunes, on connaît la suite en mai 68... Une évocation provocante pour l'époque, de la sexualité "libérée", surtout par des filles, est aussi une caractéristique de certains de ces enregistrements.

Pussy Cat (Evelyne Courtois) (1966) "Ce n'est pas une vie"
Cette adaptation du fabuleux "Sha la la lee" des Small faces est toujours amusante près de cinquante ans après "nous payons beaucoup trop d'impôts" en plein dans l'actualité !

Elsa Leroy (1966) "Comment fais-tu" ?
Ce morceau, surtout avec ses "gémissements" que l'aspect humoristique atténue un peu, est une vraie provocation en 1966...

Jacqueline Taieb (1967) "7 heures du matin"
Une bonne musique et des paroles qui décrivent l'intimité de la "fille branchée" du milieu des années soixante...

Annie Philippe (1966) "Pas de taxi"
A rapprocher, au niveau de "l'esprit", de la chanson précédente.

Chantal Kelly (1966) "Interdit aux moins de 18 ans"
La jeunesse s'affronte aux tabous légaux encore érigés par la société "gaullienne" assez prude. Un mineur va pouvoir visionner un film de guerre sanglant légalement, mais que dès qu'une fesse apparaît timidement : "interdit aux moins de 18 ans"... A rapprocher, sur le plan de la vie familiale, de "la permission de minuit" de la même chanteuse.

Valérie Lagrange (1966) "Moitié ange moitié bête"
Valérie Lagrange, actrice souvent dans les films dits "nouvelle vague" dégageait la sensualité et la féminité... Je me suis risqué à pointer un lien vers un Scopitone car, dans son cas, l'image est indissociable du message sensuel envoyé...

Stone (1967) "Baby Stone"
Déjà "aidée" par Eric Charden au niveau musical, Stone avec son look "Brian Jones" symbolisait la "fille dans le vent" de la fin des années soixante.

Stella (1967) "Cauchemar autoprotestateur"
Stella va devenir "madame Vander" dans le fabuleux groupe Magma. Sa période yé-yé, qu'elle dénigre de nos jours, est pourtant loin d'être inintéressante. Déjà évoquée sur ce site, j'ai dû faire fort pour sélectionner cette chanson parmi un grand nombre d'autres dans le même style !

France Gall (et Maurice Biraud) (1967) "La petite"
Cette chanson est déjà commentée sur le site. Elle évoque tout de même par la "plaisanterie" ce qu'on nomme de nos jour la... pédophilie !

Dani (1967) "La machine"
Rythme typiquement "jerk", texte "gainsbourien" voire "vianesque" vraiment "très années soixante" !

Cléo (1967) "Les Fauves"
Une mini-chronique amusante toujours d'actualité, vu la période des soldes lors de la mise en ligne de cette rubrique...

Objets usuels
évoquant les disques vinyle
01/04/14

1.Plateaux en forme de vinyles
2. Balance Teraillon
3. Mini transistor
4. Serre-livres
Le vinyle a un impact médiatique sur toute la société... En témoignent les "allusions" faites par exemple sur les publicités. Souvent une platine, un disque, le mythique électrophone Teppaz "Oscar" etc. apparaissent pour vendre soit une voiture, où un autre produit quelconque que l'on souhaite faire apparaître "branché"... Curieux d'évoquer dans ce but une technologie dépassant le demi-siècle d'existence.
Dans le même esprit nombre d'objets font référence au microsillon. Ils sont généralement "utilitaires" par opposition aux gadgets mais ont un aspect décoration tout de même.
Je vous en présente quelques-uns qui placés dans mon bureau sont à ce titre constamment sous mes yeux.

1. Le plateau en haut de la photo est présenté dans un étui carton évoquant le Magical Mystery Tour des Beatles en le parodiant.
"Pot Coaster", 15 cm de diamètre, en silicone (donc souple), fabrication 2011
Le plateau en bas de la photo a un diamètre plus important. Seule la face supérieure à un look "vinyles". La matière est rigide comme l'autre "plateau disque" plusieurs millimètres d'épaisseur.
"Tomato" fabrication anglaise.

2. Un "pèse aliments" (ou lettres) électronique avec un décor évoquant une platine.
Teraillon (20 x 18 cm)

3. Mini transistor en forme de platine vinyles. En faisant tourner le plateau on change de chaîne...

4. Serre-livre en forme de deux vinyles 17 cm, "repliés" à la base. Pas trop pratique mais l'objet est amusant.
"Tropical records" et "Butterfly records" par les "Nostalgics"

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(Mise à jour le 28 août 2011)

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