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L'âge du rock Denis Fouquet |
Cette toute petite brochure (125 x 180 mm) qui n’est probablement plus en vente mérite pourtant d’être citée ici. Là encore si vous voulez vous la procurer il faudra chercher sur les sites de vente de bouquins d’occasion mais la qualité mérite cet effort. Les texte d’Alain Dister et le talent des graphistes réunis permettent de faire une synthèse de l’histoire du rock très réussie. Certes les passionnés rechercheront peut être des livres plus fournis mais je trouve intéressant de voir rassemblé l’essentiel de cette saga musicale qui a révolutionné la musique populaire mondiale. De très belles photos, judicieusement placées, aident à la mémorisation des grandes étapes de cette musique. Certains jeunes visiteurs du site qui ont pris la machine « rock » en marche réaliseront facilement l’évolution de cette musique depuis les années cinquante.
A noter hélas le décès d'Alain Dister début juillet 2008... |
Hamster jovial et ses louveteaux Gotlib |
Gotlib je connaissais ses dessins depuis « Pilote » et ses « Dingodossiers »au milieu des années soixante… c’était déjà pas triste, surtout pour l’époque et pour un journal pour enfants. Je le redécouvris à ma grande surprise quelques années plus tard dans « Rock and Folk » que je lisais tout aussi assidument que « Pilote »… Chaque mois une page des aventures de ce « Hamster jovial » qui parodiait généralement un groupe pop de l’époque. Ainsi furent « traités » Jethro Tull, Joe Cocker, Mike Jagger, Tina Turner, Elvis Presley, Magma, Captain Beefheart, The Who… plus plein d’autres aventures donnant un image du scoutisme que « Baderne » Powel aurait sans doute peu appréciée et illustrant surtout le rejet du conformisme des années passées à l’égard des jeunes et du militarisme sous-jacent constraste absolu avec les motivations des amateurs de pop rock de la fin des sixties... Cet album pour moi est un témoignage irremplaçable sur la vision iconoclaste de ce grand dessinateur sur le courant pop de l’époque, rien n’était sacré… Pour les jeunes amateurs de pop sixties qui ne connaissent pas un album incontournable. De nombreuses rééditions sous des formats divers rendent la chose possible. |
Bordeaux rock(s)
Jean-Marie Périer |
Ce gros livre, comme son nom l’indique, détaille l’histoire du rock dans la région bordelaise, il intéressera donc moins les visiteurs du site d’autre régions mais il doit probablement exister des livres similaires pour toutes les grandes agglomérations… A Bordeaux, la période Yé-yé c’est incontestablement Tony March, dont les vinyles ont aujourd’hui des cotations assez élevées et sont recherchés par les collectionneurs de la France entière. Sa firme de disques est bordelaise aussi, les disques Ghislain qui produisirent aussi le groupe bordelais Les Blousons noirs, certains disques en duo avec Tony March. Une foule d’autres groupes plus ou moins éphémères marquèrent les années soixante de la cité bordelaise. En ces temps-là les sonos étaient rares, souvent de vieux électrophones bricolés les remplaçaient ! Certains groupes, pour conserver une trace sonore de leurs prestations s’enregistraient avec un des gros magnétophones à bobines de l’époque et faisaient graver « leur » vinyle dans une officine spécialisée à quelques exemplaires destinés aux amis… Peu se souviennent encore de Mifa, la Sylvie Vartan locale et de biens d’autres aujourd’hui un peu oubliés. Des salles de spectacle à l’abandon comme la salle de spectacle de la Bourse du travail furent un temps du haut lieu du rock local… Plus tard on évoque Sigma et ce mémorable spectacle d’un groupe quasi inconnu à l’époque (mais plus pour longtemps) devant une centaine de personnes : les Pink Floyd. Magma créa sont Mekanik destruktiw komandoh lors d’une édition du festival, un autre vit les Soft Machine se produire dans la mythique salle de l’Alhambra. Des festivals pop locaux, inspirés par Woodstock sont évoqués. Les marchands d’instruments de musique jouaient un rôle clé dans le courant rock, autant lieux de rencontre que support technique, leurs magasins restant dans les mémoires de beaucoup. Les groupes se succèdent et les années passent certains ont une certaine notoriété nationale mais beaucoup ne laisseront que quelques lignes dans le bouquin, tout le monde n’est pas Noir désir… Pour ma part, bordelais sur le tard j’ai tout de même côtoyé Tony March, Gaby, écouté certains spectacles à l’Alhambra avant sa destruction, connu Dominique Dauta organisateur de spectacles pop à Bergerac et j’ai comme collègue de travail un membre d’un groupe punk local mentionné dans le bouquin. Le premier magasin vendant du vinyle d'occase, le célèbre magasin Diabolo menthe et l'organisation des premières conventions de disques bordelaises sont aussi évoqués. Dans ce genre de livre on trouve toujours quelque chose qui nous rattache à cette histoire du rock local qui est aussi notre histoire. Ce livre est épais mais pourtant l’histoire continue… |
Chinambule Editions Livet |
Cette petite revue j’avoue que je l’ignorais bien qu’elle soit diffusée dans pas mal de points de vente de journaux. Ils me contactèrent un jour via mon site pour réaliser un reportage prenant un collectionneur et sa thématique comme sujet. Ils réalisèrent donc un numéro consacré au vinyle basé sur ma collection. Un de leurs journalistes se rendit à mon domicile, appareil photo en bandoulière et nous réalisâmes le dit reportage qui couvrit pas mal de pages de la revue. J’ai gardé un très bon souvenir de ces moments, de l’équipe de « Chinambule » vraiment sympa. Il s’agit d’un journal « sudiste » c’est à noter, sortis de l’éternel parisianisme. Le prix de moins de trois euros n’enlève en rien l’intérêt de la lecture que je conseille à tous les vinylmaniaques chineurs (pour moi les deux vont d’ailleurs ensemble). Chasser le vinyle ne veut pas dire ne pas s’intéresser aux autres objets que l’on peut trouver dans les brocantes. Chaque numéro commence par une rubrique sur laquelle on découvre tout un tas d’objets anciens avec le prix auquel ils étaient vendus. De la même façon on découvre aussi des objets vendus en salle des ventes avec le prix atteint aux enchères. Ainsi en conservant tous les numéros on a une petite encyclopédie permettant d’avoir des idées relativement à la valeur des antiquités que l’on peut côtoyer. Suit la rubrique évoquée précédemment relativement à un collectionneur et ses trésors… On trouve également des conseils pratiques et bien sûr le calendrier national des brocantes et vide-greniers. Enfin une rubrique de petites annonces (Chinambule propose une annonce gratuite de six lignes pour chaque exemplaire avec un supplément de 1 euro par photo) termine la revue. Tout cela pour moins de trois euros, on est loin des tarifs des autres magazines sur ce thème. |
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Je chante ! « Revue de la chanson française » |
Vous navez jamais sans doute entendu parler de cette revue et
javoue ne connaître son existence que depuis peu... Cest eux
qui mont contacté via mon site et javoue avoir été conquis !
Cette publication prouve quon peut arriver à faire vivre un magazine
hors des grands circuits (elle nest pas mise en vente dans les
kiosques) dans la mesure où la passion et la qualité sont au rendez-vous. « Je chante ! » propose des articles très fouillés sur la chanson française, actuelle et passée, et donc rejoint les recherches de beaucoup de vinylmaniaques... Dans chaque numéro entre autres articles intéressants elle met laccent sur un(e) chanteur(se) : bio, discographie détaillée, anecdotes, etc. Une source originale dinfos, souvent inédites, donc précieuses. On peut acheter « au numéro » si lon veut par exemple des infos originales et détaillées sur son(ses) interprète(s) préféré(s). Léquipe rédactionnelle de « Je chante ! » devrait tabler davantage sur le web pour se faire connaître, cest ce que jessaie de faire modestement sur mon site... Liens vers leurs sites sur lesquels vous trouverez les infos pour commander les revues : |
Juke Box magazine « L'argus du disque » |
Cette rubrique ne peut quévoquer cette véritable institution
dans le milieu des collectionneurs de disques. Pour les rares
qui ne connaissent pas jévoquerai tout dabord le magazine mensuel
incontournable qui évoque la musique populaire des années soixante
de façon très (trop ?) détaillée, méticuleusement les faits sont
datés, énumérés. Morceau par morceau cest une véritable encyclopédie
de la pop et de la chanson sixties qui se développe de numéro
en numéro. Parallèlement au magazine les fameux hors série « Argus du disque
» qui proposent des cotations pour quasiment tous les vinyles
de pressage français édités jusquà la fin des années soixante.
Là aussi un important travail de recherche et de collecte dinformations
qui va, à mon avis, bien au-delà de notre hobby mais catalogue
ce patrimoine de la musique populaire pour les générations futures. Linconvénient de cela, à mon humble avis, est de donner médiatiquement
limage que le vinyle est un objet précieux (ce que jadmet) mais
aussi cher, voire très cher... « Plus un vinyle est cher plus
il est beau » Les médias, friands de délires, reprennent cette
thématique des « Cent disques les plus rares » (nom dun hors
série Juke Box magazine) et ont installé dans lidée des non initiés
que tout vinyle est un petit trésor... « LHistoire » du vinyle
sandwiche, du « Velours » de Johnny etc., répétée inlassablement
lie notre loisir à une chasse au trésor... Pourtant comme je lécris
sur mon modeste site, un disque dit « rare » si on compare à dautres
collections nest pas si cher que cela, même dans les (plus) onéreuses
foire aux disques ! En conclusion cette revue est, à mon avis, pour tout collectionneur ou amateur de musique sixties, incontournable, qui plus est elle parce quelle est la seule sur ce créneau. Lien vers le site « Juke Box magazine » voir page « Annnuaire du vinylmaniaqe » |
Rolling with the Stones La saga d'un groupe mythique |
Bill Wyman, « the ghost », le Stone le plus effacé, au point quil a pris « sa retraite » et ne participe plus aux concerts du groupe... Il semble admettre que lui et Charlie (Watts) en tant que rythmique du groupe nont pas droit à la même notoriété que le duo infernal Jagger-Richard... Ceci-dit il nous dévoile un aspect inattendu de sa personnalité : historien du rock ! Curieusement, dès les débuts des stones, il se mit à noter méthodiquement tout ce qui se passait dans leurs premières (et fabuleuses on limagine) tournées... Il récupéra des tas de souvenirs... Il jouait aussi le rôle de secrétaire doù les notes de frais, etc. Des décennies plus tard lidée à bien sûr germé dexploiter ce filon dinfos stockées par cet historien pop « de terrain » car qui mieux quun acteur pour raconter cette fabuleuse histoire. Le résultat est ce gros et luxueux bouquin illustré de 3000 photos. Pour les fans des Stones cest le top : presque la vie du plus grand groupe de rock and roll de tous les temps au jour le jour. Des heures de lecture car il ny a pas que les photos, le texte est passionnant. De plus pour nous vinylmaniaques sont évoqués de nombreux disques mythiques, ultra rares, disques démo, premiers essais qui se vendent des fortunes... Que de reliques comme ces vieilles affiches, tickets de concerts. Oui cette « histoire des stones » cest aussi lhistoire dune époque que le groupe, à travers son étonnante longévité, continue à faire vivre de nos jours lors des fabuleux concerts des tournées récentes des Stones. |
Waiting for the sun Histoire de la musique à Los Angeles |
Des années 40 à lan 2000 lauteur nous raconte lhistoire dune
scène musicale très importante dans lhistoire de la pop et du
rock. Entre les artistes locaux, ceux de passage la liste
des grandes figures de la musique populaire américaine de la côte
Ouest est impressionnante. Ce panorama de la musique californienne
est truffé danecdotes cocasses, dramatiques ou surprenantes.
Jai particulièrement apprécié ce bouquin pourtant relativement
« technique » et touffu mais une mise en page originale le rend
plus attrayant. Il permet de mieux connaître de nombreux artistes
dont nous accumulons les vinyles souvent prestigieux, voire «
classiques » de la pop USA. Au fil des 500 pages de ce bouquin
jai notamment relevé les évocations de : Nat King Cole, Eddie Cochran, Ricky Nelson, Sam Cooke, Phil Spector, Herb Alpert, the Beach boys, the Byrds (et le son « jingle-jangle »), Johnny Rivers, Sonny and Cher, Mamas and papas, Zappa et les Mothers of invention, Captain Beefheart, Love, Thimoty Leary, The Electric prunes, The Monkees, Buffalo Sprinfield, Crosby, Stills, Nash and Young, The Doors et Jim Morrison, Canned heat, Alice Cooper, Charles Manson et sa tribu, Laurel Canyon et ses refuges de musiciens, Jackson Browne, Joni Mitchell, Randy Newman, Ry Cooder, James Taylor, Littel Feat, Harry Nilsson, Poco, Burrito brothers, Linda Ronstadt, Barry White, Delaney and Bonnie, Sly and the family stone, Les Eagles, Steely Dan, Iggy pop, Ricky Lee Jones, Fleetwood Mac, Les Motels, Van Halen, Les Cramps, Axel Rose... sans compter les innombrables stars « de passage » Stones, Lennon, Bowie... Toute cette longue énumération, qui nest pourtant que partielle, pour mettre en avant limportance de cette zone géographique dans la culture pop passée, actuelle et sans doute future... |
Anti yéyé Christian Eudeline |
Christian Eudeline nomme « anti yé-yé » les chanteurs, groupes
qui bien que catalogués « yé-yé » se démarquèrent soit par leur
expression artistique de qualité, novatrice et originale ou par
une approche du show bizness contestataire. Dans la mesure où
ceux-ci étaient relativement médiatisés à lépoque jai été attiré
par Ronnie Bird, Stella etc simplement parce que cétait une musique
qui détonait par rapport aux créations « officielles » du hit
parade. Pour moi le rock, la pop, doivent avoir par nature un
aspect contestataire... ce qui pose la question par exemple de
Johnny... que Christian na pu bien sûr trop attaquer mais qui
pourtant est bien le symbole de cette récupération franchouillarde
du courant rock. Comme beaucoup, du fond de ma province je ne
percevais que des bribes du formidable courant artistique qui
se développait à Paris et bientôt Londres et dans le monde entier...
Ce livre a limmense mérite de nous décrire ce qui sest passé
dans lentourage dHector, Ronnie Bird, Stone, Zouzou et la bande
du drugstore, la saga des Problèmes / Antoine / Charlots avec
des témoignages de ceux qui ont vécu au-delà de leurs vinyles
qui garnissent nos étagères (lorsquon arrive à se les procurer...). Jai découvert aussi grâce à « Anti yé-yé » que la chape de plomb
que faisait régner la censure Gaulliste continue dans ma mémoire
à dénaturer lHistoire : pour exemple la soirée dite de la Nation,
que jévoque dans « Autopsie dun vinylmaniaque ». Dans mes souvenirs
de lépoque à travers les infos de la RTF ce premier « festival
rock » était associé à de nombreuses violences ce que jai mentionné
dans ma chronique en fait pas le moindre incident notable ne fut
à signaler ce soir-là sauf pour les journalistes gaullistes aux
ordres... Jai trouvé à la fois intéressant et amusant de suivre la saga
dHector, précurseur du courant punk, anar pur jus, qui arriva
à réaliser ses fantasmes les plus délirants parfois sur la voie
publique avec un préfet de police qui se nommait pourtant Papon... On perçoit dans ce livre linteraction très étroite quil y avait
entre tous ces chanteurs, groupes... Un musico allait dun groupe
à lautre, un groupe naissait, disparaissait quel labyrinthe pour
suivre certaines destinées de musiciens... Des rencontres entre
Antoine et Andy Wharol, Jimmy Page jouant dans les premiers disques
de Polnareff illustrent cet incroyable metling pot. Dans les bacs
chaque style musical est soigneusement classé, chacun à sa place,
dans la réalité de lépoque tout était possible, Pierre pouvait
jouer avec Paul, simplement parfois parce quil manquait un musico
à tel groupe et quil fallait assurer le spectacle dare dare ! Quelques critiques tout de même sinon Christian, qui ma contacté un jour via mon site, me prendrait pour un flagorneur : les absents, selon moi, dans la liste des anti yé-yé évoquée. En premier je pense à Évariste, ce savant de renommée mondiale qui, par provocation et pour financer ses études, inspiré bien sûr par Antoine, commit quelques 45 tours EP. Réapparition dÉvariste en 68 ou il réalise deux singles de chansons contestataires, pochettes décorées par Wolinski, sous le label dun éphémère mais tellement sympa « Comité révolutionnaire » avec une mention indiquant que le prix de vente très bas de ces disques démontrait à quel point les société de disques volaient les jeunes... Évariste à poursuivi une brillante carrière scientifique mais conserve toujours un look et un comportement des plus délirants. Je pense aussi à Noël Deschamps, Pussy Cat avec son adaptation sur un hit des Small Faces Sha la la lee : « Nous payons beaucoup trop dimpôts, ce nest pas une vie non... », Valérie Lagrange... Le Belge Ferré Grignard qui se fit plagier une de ses chansons par Johnny pour la musique de Cheveux long idées courtes quelle ironie piquer une chanson d'inspiration Beatnik pour critiquer... les beatniks !; Jacqueline Taïeb et son « Sept heures du matin »... Mais je suppose que lon ne peut pas tout rentrer dans un bouquin et quil a fallu choisir. Jespère que Christian continuera à publier des livres sur cette thématique et ne peux que conseiller à tous les vinylmaniaques de lire cette mine dinfos... |
Nos années Stones |
Dans les années 1990 « Rock and Folk » a édité ce numéro spécial reprenant les meilleures photos et articles consacrés aux Rolling stones par ce magazine. J'ai découvert quelques années plus tard que cette revue est devenue un objet de collection vu les annonces de personnes cherchant à l'acheter. R & F est un témoin/acteur incontournable des années pop, à ce titre les nombreux numéros consacrés à ce groupe sont incontournables. Les Stones étaient à mon avis étaient le groupe le plus photogénique, en constante représentation face aux objectifs et caméras. La sincérité n'est pas le but, il s'agit de symboles, d'icones, du catalyseur des fantasmes de toute une génération. Ces 160 pages résument par l'image jusqu'aux années 90 la saga stonienne et illustrent également le savoir-faire graphique et journalistique de « Rock and Folk » |
Mes années soixante Jean-Marie Périer |
Là on passe de la publication minimum à un gros bouquin... mais un peu âgé, quoique très connu par les nostalgique de l'époque yé-yé. Et pour cause : Jean-Marie Périer était l'incontournable photographe de « Salut les copains » et à ce titre toutes les photos les plus connues des « idoles » portent sa signature. Il réussit le miracle, avec la technologie de l'époque, de réaliser des photos originales de gens qui, pour certains, n'étaient pas particulièremet photogéniques... Donc « souvenirs-souvenirs » plus que jamais en redécouvrant des photos que l'on a feuilletées dans les SLC d'époque et pour les djeuns qui s'intéressent à cette époque une base incontournable de photos mythiques. La reine d'entres elles est sans conteste la photo de groupe sur laquelle JM Périer réussit l'espace d'un instant à rassembler et photographier l'intégralité des vedettes « connues » de l'époque. Pour info on trouve parfois ce livre dans les librairies « discount » à des prix très bas. |
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