16 45 tours + cotations :
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Disques classés par année.
Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques) Sauf mentions contraires les disques sont des pressages français. Mise en ligne 15/01/09 |
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« La leçon de twist » Columbia ESRF 1349 1962 8 euros* |
« Le loco-motion » Columbia ESRF 1380 1963 - 7 euros* |
« A présent tu peux t’en aller » Columbia ESRF 1498 1964 - 7 euros* |
« Ce monde » Columbia ESRF 1539 1964 - 6 euros* |
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« La corde au cou » Columbia ESRF 1586 1964 - 6 euros* |
« Sunny » Columbia ESRF 1785 1966 - 6 euros* |
« Fille sauvage » Columbia ESRF 1828 1967 - 6 euros* |
« Le grand Meaulnes » Columbia ESRF 1889 1967 - 6 euros* |
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« T’embrasser, t’embrasser » Barclay 60.393 (SP Belgique) 1963 - 15 euros* |
« Da doo ron ron » Barclay 70 549 1963 - 7 euros* + ph. verso |
« Reviens vite et oublie » Barclay 70 579 1963 - 7 euros* |
« Allo MAI 38-37 » Barclay 70 660 1964 - 7 euros* |
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« Je me bats pour gagner » Barclay 70 702 1964, - 7 euros* |
« Sing c’est la vie » Riviera 210.120 1965 - 7 euros* |
« Des filles et des garçons » Riviera 231 081 1965 - 8 euros* |
« Bimbo » Riviera 231 100 1965 - 7 euros* |
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Richard Anthony / Frank Alamo… Ils eurent leur gloire au milieu des années soixante, durant plusieurs années, même si leur audience était plus limitée qu’un Johnny ou Cloclo en ces temps-là leurs succès s’enchaînaient. Comme la plupart des chanteurs yé-yé ils ne prenaient aucun risque, les succès des hit-parades anglais et américains, adaptés en français étaient repris sans vergogne et bien des auditeurs croyaient qu’ils en étaient même les auteurs ! Leurs destins également avaient des points communs : une relativement longue (pour l’époque) période de célébrité et, inexorablement, avec la venue des nouveaux comme Polnareff, Dutronc, Antoine la tombée dans l’oubli… Les cotations basses de leurs super 45 tours démontrent qu’ils se vendirent en grande quantité et qu’il en reste des tas que l’on retrouve fréquemment lors des vide-greniers. Pour moi peu de plaisir à l’écoute sinon ce sentiment de nostalgie qui me fit acheter ces vinyles… Qu’on le veuille ou non, leurs voix c’est en partie le fond sonore des années sixties, bien plus que celles de ces anti-yéyé qui certes proposaient des disques de bien meilleure qualité mais tellement confidentiels… De « Salut les copains » l’après-midi sur les premiers transistors (crac… bzzzoui… la modulation de fréquence n’existant pas encore) à la sonorisation des manèges de fêtes foraines, juke-boxes, ils s’entendaient partout, rassuraient les parents par rapports aux rockers purs et durs. On entendait siffler le train, maintenant en les réécoutant on entend filer le temps… |
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