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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

14 45 tours EP
+ 2 33 tours 30 cm (LPs) avec cotations :
« Spécial Dalida »

J'ai choisi ces pochettes en fonction de critères "affectifs".

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

Disques classés par année.

Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques)

Sauf mentions contraires les disques sont des pressages français.

Mise en ligne 15/10/08

1. La violeterra
EP Barclay
70 039
(1956) 100 euros
2. Gondolier
EP Barclay
70 116
(1957) 15 euros
3. Les gitans
EP Barclay
70 178
(1958) 35 euros
4. Come prima
EP Barclay
70 194
(1958) 15 euros
5. Amstramgram
EP Barclay
70 202
(1959) 17 euros
6. Ciao ciao bambina
EP Barclay
70 230
(1959) 15 euros

7. La chanson d'Orphée
EP Barclay
70 271
(1959) 15 euros

8. Les enfants du Pirée
EP Barclay
70 322
(1960) 6 euros
9. Parlez-moi d'amour
EP Barclay
70 386
(1961) 12 euros
10. Protégez-moi seigneur
EP Barclay
70 391
(1961) 20 euros
11. Plus loin que la terre
EP Barclay
70 406
(1961) 17 euros
12. Le petit Gonzales
EP Barclay
70 446
(1962) 6 euros
13. Je l'attends
EP Barclay
70 471
(1962) 6 euros
14. Chaque instant de chaque jour EP Barclay
70 671
(1964) 8 euros
15. Olympia 67
LP Barclay
80 349 S
(1967) 40 euros
16. Eponyme
LP Sonopresse
IS 39710
(197?) 8 euros

Dalida… Musicalement ce n’est et surtout n’était pas trop ma tasse de thé ! A l’époque, pour moi et plein d’autres jeunes c’était « des trucs pour les vieux ». Des décennies plus tard curieusement ses disques m’intéressent, certes je dois avouer que mon intérêt est plus lié aux graphismes des pochettes qu’à l’écoute des chansons de « Dali ». Avant tout je trouve qu’elle était « extraordinairement » photogénique : à savoir, comme on le constate sur ces photos de pochettes prises pourtant d’une année sur l’autre, qu’on a l’impression qu’il s’agit d’une personne différente en fonction de son look et de l'inspiration du photographe. Elle symbolise pour moi les années soixante, surtout par ces pochettes, un peu comme Marylin Monroe aux USA… Je me souviens de mes collègues de travail de la génération des années cinquante, me dire d’un ton admiratif : « Lorsqu’on la voyait sur scène, c’était vraiment un canon ». En matière de séduction, la Dalida de mon époque, les années soixante et soixante-dix, était déjà moins attrayante (j’espère ne pas trop choquer ses fans) surtout par le fait qu’elle essayait de suivre les modes comme le twist, plus tard le disco et était souvent, question look, proche du ridicule… Toujours est-il que, lors de mes errances sur les brocantes, parfois devant certaines pochettes, je ne peux m’empêcher d’acheter, vinylmaniaquerie oblige, ces pochettes porteuses de beaucoup de nostalgie...

NB/Relativement à la question de déterminer l’époque de tirage d’un vinyle, cette galerie permet de visionner les différents logos « Barclay » : celui des années cinquante et celui des années soixante et soixante-dix (le plus connu sur les vinyles), lui-même remplacé par un nouveau logo sur les derniers disques édités par la marque avant l’avènement du CD (voir le changement de logo entre les pochettes 7 et 8). Le plus ancien peut aider lorsqu’on a un doute sur l’ancienneté, il atteste
qu’on est dans les années cinquante. On notera également sur le disque n°1 que le logo "Barclay disques" est entouré d'une sorte d'ovale qui disparaît sur les disques suivants. Ce premier logo peut donc indiquer que le vinyle est daté approximativement dans la première moitié des années cinquante alors que les autres sans cet ovale plutôt de la fin de cette décade. Le second logo "Barclay" sans la mention "disques" ayant été utilisé à partir des années soixante et durant les seventies.

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