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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

16 45 tours EP avec cotations :
« Spécial Petula Clark »

J'ai choisi ces pochettes en fonction de critères "affectifs".

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

Disques classés par année.

Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques)

Sauf mentions contraires les disques sont des pressages français.

Mise en ligne 15/11/08

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1. La joie d'aimer
EP Vogue

PNV 24077
(1960) 17 euros
2. Prends mon cœur
EP Vogue

PNV 24058
(1960) 8 euros
3. Roméo (Salomé)
EP Vogue

PNV 24082
(1961) 35 euros
4. Ya ya twist
EP Vogue

PNV 24090
(1961) 10 euros
5. A London
EP Vogue

PNV 24091
(1961) 7 euros
6. Chariot
EP Vogue

EPL 8000
(1962) 5 euros

7. Elle est finie
EP Vogue

EPL 8078
(1963) 7 euros

8. Plaza de toros
EP Vogue

EPL 8110
(1963) 6 euros
9. Dans le temps (downtown)
EP Vogue

EPL 8310
(1964) 8 euros
10. Il faut revenir
EP Vogue

EPL 8379
(1965) 7 euros
11. Mon amour
EP Vogue

EPL 8423
(1966) 6 euros
12. La mer est comme toi
EP Vogue

EPL 8477
(1966) 8 euros
13. San Francisco
SP Vogue

V 45.1439
(1967) 12 euros
14. C'est ma chanson
EP Vogue

EPL 8508
(1967) 6 euros
15. La dernière danse
EP Vogue

EPL 8584
(1967) 5 euros

16. Dis-moi au revoir
EP Vogue

EPL 8618
(1968) 12 euros

« Qué fé tiou la Petioula… » Elle fut la première à exploiter son accent anglais, lequel était savamment entretenu, comme le firent plus tard Sandie Shaw, Jane Birkin… Dans les années soixante et même début des seventies, elle était partout, émissions de télé, radios… En témoignent une foule de super 45 tours que l’on trouve assez fréquemment sur les vide-greniers… On note aussi la grande variété de titres et éditions différentes. Par exemple des disques de Charles Aznavour, eux aussi très nombreux, offrent moins de variété dans les titres. Certaines de ses chansons étaient mises en scène « en costume » dans les grands shows télé des Carpentier le samedi soir. Ainsi on la voyait habillée en « cow girl » pour chanter « Oh Shérif Oh », en « bootlegeuse » pour chanter « Les incorruptibles » généralement en duo avec une vedette masculine en vue, également costumée. Bien avant dans mes souvenirs son « allons à London » reste dans mes souvenirs auditifs d’enfant, j’aimais bien chanter ce refrain avec mes petits copains. Etonnante interminable carrière là encore, récemment on l’a vue réapparaître, le visage « restauré » par un habile chirurgien esthétique et, une fois n’est pas coutume elle présente encore bien… Comme d’autres chanteurs de l’époque rien ne leur faisait peur en matière d’adaptations-récupérations des modes du jour, en témoigne ce « San Francisco », il faut le faire, Petula Hippie ! (C’est vrai Johnny l’a fait lui aussi et n’en était pas moins ridicule…) A écouter, surtout des années après, ce n’est pas terrible mais je ne vais pas répéter le refrain, dans ce cas là c’est la nostalgie qui guide mes pas… La plupart de ses EPS ont des cotations assez basses, logique vu leur grande quantité en circulation, mais il faut se méfier, comme vous le constatez sur cette galerie, certains ont des cotations élevées, parfois même impressionnantes ! De même les 33 tours « BIEM » qui, comme c’était fréquent, se vendirent bien moins sont relativement recherchés. Certains de ses disques pressages « étrangers » sont eux aussi assez cotés.
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