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16 disques 33 tours (LP) + cotations :
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Ordre chronologique,
Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques) Mise en ligne 15/02/09 |
" Perdus de vue "… Ils ont été au top dans les années soixante et puis… mis à part pour certains spécialistes ils ont cessé de produire de nouveaux albums, ou du moins ceux-ci étaient tellement confidentiels que seules leurs créations sixties sont restées dans les mémoires. Parmi les nombreux plaisirs d'un vinylmaniaque-chineur il y a la découverte, notamment, de ces disques témoins de tentatives souvent infructueuses de remonter au hit parade ou tout simplement découlant de l'envie de faire de l'alimentaire en exploitant un nom prestigieux sans trop se fatiguer… Toujours est-il que le résultat artistique de ces vinyles est souvent décevant mais l'espace d'un instant, au moment de la découverte, on peut imaginer la renaissance des Kinks, Led Zeppelin etc qui si elle est parfois dans les faits avec la reformation d'anciens groupes est rarement au niveau de nos attentes, simplement à mon avis parce que le rock pour garder son mordant, doit rester une affaire de jeunes… | |||
1. Julie (Jools) Driscoll avait tout pour devenir une légende : d'abord le talent, tous ceux qui ont connu les swinging sixties n'oublieront jamais ses performances vocales souvent en compagnie de Brian Auger ; ensuite par sa disparition… Certes pour une fois une star mythique n'est pas décédée mais elle s'est en quelque sorte auto-détruite en décidant, en pleine célébrité, de se marier avec le leader d'un obscur (du moins au niveau international) leader d'un groupe vocal nommé Tippet, le groupe de mémoire se nommait " Centipede " et exit Jools… entrée dans la légende des stars rock disparues. Donc l'achat de ce vinyle me la fit rédécouvrir quelques années plus tard dans un style totalement original mais toujours avec autant de possibilités vocales ! 2. Daevid Allen, c'était probablement Gong à lui tout seul… Toujours est-il qu'après la disparition du groupe il continua et, une fois n'est pas coutume, ces disques " post-Gong " sont toujours d'une extrême qualité. 3. Chubby Checker… alias " mister twist " restera immortel grâce à son " Let'twist again " du début des sixties et puis, comme bien d'autres, disparition médiatique, du moins en Europe. Donc nouvelle surprise de découvrir cet album de 1976 dans un style différent mais sympathique à écouter. 4. Led Zeppelin… j'en étais resté aux albums mythiques de la fin des années soixante-début soixante-dix… Nouvelle découverte de cet album de 1976 que j'abandonnai en cours d'audition pour passer à la place le " Led Zeppelin I " vu le peu d'intérêt de la chose… 5. Trini " If I had a hammer " Lopez c'était déjà limite, le revoici genre crooner, souvenirs… 6. Wilson Pickett lui aussi était tombé un peu dans l'oubli et pourtant il n'a pas cessé de chanter comme en témoigne ce 33 tours. Seul son décès mit fin à sa carrière hélas contrariée par la cohabitation avec James Brown et Otis Redding, c'était un des plus grands de la soul. 7. Peter Green, super guitariste du groupe Fleetwood Mac première mouture, virtuose du blues ne peut décevoir, du moins au niveau technique, il a produit plusieurs albums pas trop difficiles à dénicher pour un vinylmaniaque. 8. Neil Sedaka, peu connu en France était un chanteur pop US comme on dit “bubble gum” écouter ses vieux succès replonge dans l’ambiance des USA du début des sixties, le retrouver sur ce vinyle édité dans les années 80 m’a interpellé... curiosité infatigable du discophile... 9. Aretha Franklin réapparut ainsi avec son look de 1981 qui s’est hélas bien dégradé de nos jours, elle fait partie des grands qui peuvent chanter n’importe quoi et le rendre génial... 10. Grace Slick, l’égérie du Jefferson Airplane qui muta en Jefferson Starship puis en Starship et réapparaît dans cet album solo en 81... J’étais quasi amoureux d’elle, de sa voix si sensuelle dans “Crown of Creation”... 11. Ringo Starr... pas grand chose à dire de cet album sinon qu’il nous rappelle l’existence du plus discret des Beatles qui a tout de même le mérite d’être un des deux survivants... 12. The Kinks eux ils manquent, malgré un autre album live (One for the road 1981) je n’ai donc pu résister devant cet album de 1981 mais là aussi c’est bien plat... 13. Mike love a publié ce “premier album solo d’un membre des Beach Boys” comme écrit sur la pochette qui nous rappelle de façon indiscutable que Brian Wilson est irremplaçable... 14. Everly Brothers... encore un groupe mythique de la pop des débuts, de mémoire ils placèrent les Stones à leurs tout début en première partie d’une tournée anglaise... et ceux-ci gardent un bon souvenir ce cette collaboration... 15. Eric Burdon dans ce finalement rare album espagnol nous sort tout de même une intéressante nouvelle version de “The house of the rising sun” bien différente de celles des Animals et la pochette vaut le coup d’oeil... 16. Black Sabbath, et oui eux aussi, il faut bien faire bouillir la marmite mais on est loin de l’ambiance “satanique” des premiers albums... |
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